Nouveau jeu concours sur le blog de l'UFA!


Nouveau jeu concours sur le blog de l'UFA!



Wir haben für euch wieder einen neuen Anfang einer Geschichte vorbereitet, die ihr dann weiterführen sollt. Wie letztes Mal gilt: Schreibt so viele Zeilen ihr mögt, wählt eure Wunschsprache aus (Deutsch oder Französisch), kommentiert bereits verfasste Ideen - die Hauptsache ist: Seid kreativ.

Das Ziel dieses Spiels ist, eine große Fortsetzungsgeschichte mit euren Kommentaren zu verfassen. Jeder Kommentar soll die Fortsetzung des vorangegangen Kommentars sein. Wir geben euch eine Woche Zeit, um diese gemeinsame Geschichte zu schreiben und ziehen den Gewinner am 24. August per Losverfahren. Weiterhin gibt es das Sondermagazin von ParisBerlin zu gewinnen.

Seid ihr bereit? Voilà, hier ist der Anfang unserer Geschichte:

 

Es war sehr früh am Morgen. So früh, dass ich kaum meine Augen aufhalten konnte. Ich ging aus dem Haus und schloss leise und vorsichtig die Tür hinter mir zu. Kühle, frische Luft kam mir entgegen. Nach den letzten viel zu heißen Sommertagen war dies eine willkommene Abwechslung. Ich nahm meine Tasche auf die Schulter und ging los. Immer der Straße entlang bis zum Stadtrand, von wo aus ich einem Feldweg neben den Bahnschienen folgte. Ich lief weiter und weiter bis …

 



Der Rechtsweg ist ausgeschlossen.

***

Nous vous donnons un début d’histoire (comme la dernière fois en fait) et vous la continuez. Écrivez le nombre de lignes que vous voulez et dans la langue de votre choix (en français ou en allemand), vous pouvez aussi publier plusieurs commentaires, l’essentiel est que le résultat soit créatif.  

Le but du jeu est de construire une grande histoire grâce à vos commentaires qui formeront une chaîne. Chaque commentaire doit être la suite du précédent. Nous vous laissons une semaine pour créer cette histoire collective et tirerons ainsi le gagnant le jeudi, le 24. Août au sort. Le gagnant recevra toujours un hors-série du magazine ParisBerlin.

Vous êtes prêts? C’est parti, voici le début de notre histoire:


C’était très tôt le matin. Si tôt que je pouvais à peine garder les yeux ouverts. Je sorti de la maison en fermant prudemment la porte derrière moi. Un courant d’air frais me parcouru, ce qui après l’étouffante chaleur de ces derniers jours me fis le plus grand bien. Je pris mon sac et suivis une rue qui m’amena jusqu’au faubourg de la ville. Là, j’empruntais un chemin de terre longeant les rails d’un train. Je continuais jusque…

 



 La voie judiciaire est exclue.

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